Quelle solutions tu proposes jerome.
Il y a tout un lot de solutions à proposer, aucune isolée n'étant idéale (à mon sens). Et l'ensemble des solutions envisagées ne pourrons de toute façon rien faire contre l'ignorance, la bêtise ou la mauvaise volonté.
Les marshalls sont encadrés par ceux qui le paye et ceux qui sont les "experts kite locaux"! je ne connais pas le détail de celui de l'almanarre. Mais la mairie, le club local, la ligue locale et dans une moindre mesure la FFVL se mettent d'accord sur une mission globale du Beach Marshall, sur le cadre dans lequel il doit évoluer et sur son champs d'actions possible.
Ces missions de beach marshalls pourraient être confiées pourquoi pas aux moniteurs stagiaires, donc en cours d'obtention de leur diplôme. Cette solution ne résolvant pas le problème de sous et de "qui paye?"
On pourrait aussi créer un diplôme de beach marshall pour les bénévoles du club local. Mais comme tu le dis. Bonjour le travail ingrat pour pas un rond. Et personnellement, je ne crois pas qu'il y aie beaucoup de candidats prêts à se sacrifier.
Après les écoles font en général un super boulot, mais 100% des kiteurs ne passent pas par une école.
Les Clubs font en général un super boulot, mais 100% des kiteurs ne sont pas inscrits en club.
Les shops et les marques? Peut-être une voie à explorer. Evidemment, c'est dans leur intérêt qu'il y ait le plus de spots de pratiques et le plus de pratiquants sur l'eau. Ils sont néanmoins très limités en terme de moyen d'action concrètes.
Les magazines et les forums: un bon endroit où faire passer les messages. Avec parcimonie, parce que ce message n'est pas très vendeur.
Enfin effectivement, le dialogue et les explications sur sites sont bien. Mais je reste persuadé qu'un "kakou" n'entendra pas les messages jusqu'à ce qu'il mûrisse ou qu'un problème lui arrive (et là faut espérer que ce ne soit pas trop tard ni pour lui, ni pour la pratique du kite).