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Pour tenter de comprendre ce qui se passe à la Réunion
Modérateurs : Aventout, lionel
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eau-sea-bleu a écrit :
Je ne cautionne pas les propos virulents, indécents, voir irrespectueux des internautes que tu cites mais perso j'ai plus d'atomes crochus avec des guss qui défendent des principes plutot qu'un spot.
yes je suis assez d'accord sur certain points avec toi justement
et on se rend compte que les demarches et actions actuelles vont dans ce sens , pas de massacre , retour au dialogue et partage de certaine zone
que l'on preserve les especes environantes , shark , corail , poissons ........... etc .... donc d'un certain cotés nous aussi , pour une meilleurs cohabitation collective
en tous merci pour tes interventions et toutes celles d'autre personnes qui permettent de changer certaine idées préconçu
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Concrètement, tout ce qui coûte des sous risque de mettre du temps à voir le jour !
Les scientifiques eux-mêmes demandent du temps...
Il y a eu une table ronde télévisée samedi : surfeur (fédé), scientifiques, réserve naturelle.
De leur propre aveu ils ne comprennent pas ce qui a mené à ce chamboulement de la donne.
(Statistiques mondiales battues en fréquence et gravité des accidents, multipliées par 5 ou 6
ces dernières années)
En tous cas ils ne sont pas dans "le déni de réalité" et actent tous les faits relatés ces derniers
mois. C'est dans l'action à mener qu'il y a divergence.
Le déplacement de la "zone casse-croute" (dixit eau-sea-bleu) est évidemment la piste préconisée
par les surfeurs puisqu'elle est rapide à mettre en œuvre et à moindres frais.
Un projet de robot-sonar autonome a été présenté aux infos. Coût de 150 000€ la première année,
+ maintenance/frais de roulement à prévoir les années suivantes.
Il émet des images par wifi quand il repère "quelque chose".
Multiplions par le nombre de spots, cela devient pharaonique.
Le Député-Maire de Saint-Leu a commissionné un bureau d'étude pour évaluer les dispositifs.
Merci à lui, car c'est une décision qui ne va pas dans le sens du poil de son électorat qui est
je le répète globalement hostile aux surfeurs/baigneurs etc... dans cette affaire.
Les scientifiques eux-mêmes demandent du temps...
Il y a eu une table ronde télévisée samedi : surfeur (fédé), scientifiques, réserve naturelle.
De leur propre aveu ils ne comprennent pas ce qui a mené à ce chamboulement de la donne.
(Statistiques mondiales battues en fréquence et gravité des accidents, multipliées par 5 ou 6
ces dernières années)
En tous cas ils ne sont pas dans "le déni de réalité" et actent tous les faits relatés ces derniers
mois. C'est dans l'action à mener qu'il y a divergence.
Le déplacement de la "zone casse-croute" (dixit eau-sea-bleu) est évidemment la piste préconisée
par les surfeurs puisqu'elle est rapide à mettre en œuvre et à moindres frais.
Un projet de robot-sonar autonome a été présenté aux infos. Coût de 150 000€ la première année,
+ maintenance/frais de roulement à prévoir les années suivantes.
Il émet des images par wifi quand il repère "quelque chose".
Multiplions par le nombre de spots, cela devient pharaonique.
Le Député-Maire de Saint-Leu a commissionné un bureau d'étude pour évaluer les dispositifs.
Merci à lui, car c'est une décision qui ne va pas dans le sens du poil de son électorat qui est
je le répète globalement hostile aux surfeurs/baigneurs etc... dans cette affaire.
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une intervention intéressante http://www.zinfos974.com/Defenseurs-des-requins-qu-avons-nous-declenche_a61855.html
c bien que le dialogue cohérent ce remette en place , dans toutes les instances liés de prés ou de loin au problème
c bien que le dialogue cohérent ce remette en place , dans toutes les instances liés de prés ou de loin au problème
C'est intéressant.
Dit de façon abrupte, mais je reconnais qu'en début de crise je ne prenais
pas le problème tellement à cœur.
Ce sont des réactions comme celle du plongeur, en dessous de l'article, ou
d'autres individus qui sont encore dans le déni qui "rendent haineux".
Et pourtant les premiers concernés (voir mon post ci-desssus) s'accordent
aujourd'hui à reconnaître le problème.
Dit de façon abrupte, mais je reconnais qu'en début de crise je ne prenais
pas le problème tellement à cœur.
Ce sont des réactions comme celle du plongeur, en dessous de l'article, ou
d'autres individus qui sont encore dans le déni qui "rendent haineux".
Et pourtant les premiers concernés (voir mon post ci-desssus) s'accordent
aujourd'hui à reconnaître le problème.
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"Ce désastre est aussi le résultat de l’action d’associations écologistes qui ont négligé les rencontres avec leurs opposants. À force d’insultes ou de critiques violentes, elles ont créé un sentiment de rejet vis à vis du requin. Pourtant elles auraient pu peser vers solutions et consensus, et ne pas faire le jeu des réappropriations politiques.
Est-ce cela représenter l’écologie aujourd’hui ? Mépriser les usagers des milieux que nous devons préserver ? Je ne signe pas. "
Pour le coup ce billet est vraiment plein de bon sens.
Est-ce cela représenter l’écologie aujourd’hui ? Mépriser les usagers des milieux que nous devons préserver ? Je ne signe pas. "
Pour le coup ce billet est vraiment plein de bon sens.
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