La cour d'appel de Pau a validé le licenciement d'une employée qui délaissait son travail au profit des réseaux sociaux et de la vente de produits en ligne. La décision pourrait faire jurisprudence.
En cause : une fréquence d'usage très élevée de Facebook, de sa messagerie personnelle Hotmail et d'un site commercial sur lequel elle vendait par correspondance de la lingerie féminine.
Des connexions "pas pire qu’une pause cigarette !" a pour sa part estimée l'avocate de cette dernière.
Moi je dis bien fait pour sa tronche je ne suis pas patron mais faut pas abuser non plus (j'adore l'avocat trop pourris comme réponse ):evil:


