Contacter M6 pour donner son avis sur ce bon reportage
Modérateurs : Aventout, lionel
- breizhpunishers
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Le responsable kite de la ffvl m'a contacté et d'après lui la réponse ne doit pas être frontale sachant que le fond de commerce de cette émission n'est pas l'information mais le sensationnel, il cherche donc une réponse appropriée.
Il viendra sur ce post pour parler de son action.
M6 d'après lui, enverrait des réponses robotisées suite à un grand nombre de mail de mécontentements reçu par la chaine.
Bon, on est pas sur un sujet de grande importance, ce n'est qu'un sport, mais ce serait bien de pouvoir continuer à le pratiquer sereinement sur des spots ouverts.
Il viendra sur ce post pour parler de son action.
M6 d'après lui, enverrait des réponses robotisées suite à un grand nombre de mail de mécontentements reçu par la chaine.
Bon, on est pas sur un sujet de grande importance, ce n'est qu'un sport, mais ce serait bien de pouvoir continuer à le pratiquer sereinement sur des spots ouverts.
- breizhpunishers
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voici le lien pour la FFVL
http://federation.ffvl.fr/contact

reste plus à contacter ces "journalistes" pour leur filer du sensationnel à base de kiteloop et de highjump
, mais bon faudra pas dire après, " - y a trop monde sur les spots! - ouais, mais, t'as vu le reportage de hier? ça donne trop envie d'en faire"

sinon, j'ai vu juste 5min qd la gonz balançait la convert orange de JC... c'était qd même ...




sinon, j'ai vu juste 5min qd la gonz balançait la convert orange de JC... c'était qd même ...


Voici la réponse de la ffvl
Je trouve ça vraiment pas mal...
N/Réf. : JS-FDL120808-Reportage M6-Zone Interdite
Relais technique : François Cuizinaud Relais secrétariat : Marilyn Peirano
Objet : Reportage M6 – Zone Interdite
COMMUNIQUE
La Fédération française de vol libre (FFVL), délégataire de l’État pour le kite, s’insurge du contenu de votre reportage diffusé dans l’émission Zone Interdite du 1er août, lequel ne constitue qu’un très pâle reflet de la réalité. Car chaque jour des centaines de bénévoles et de professionnels concourent à l’essor structuré du kitesurf qui rayonne à présent bien au-delà de nos frontières.
Cette activité sportive de glisse en pleine nature, d’invention française, à la fois technologique et écologique, a su séduire un grand nombre d’adeptes, leur apportant un développement physique complet ainsi qu’un sens des responsabilités et de la prise de décision qui constituent incontestablement un savoir-être à forte valeur ajoutée éducative.
Si l’on peut imaginer que la population fréquentant le littoral et s'adonnant à la baignade ne soit pas encore informée des quelques précautions à observer pour que tous, sportifs kiteurs et plaisanciers, cohabitent en parfaite harmonie, il n’est pas admissible que des professionnels de l’information présentent l’activité de la sorte, surtout lorsque, malheureusement, nombre de kitesurfeurs autodidactes manquent de connaissances sur la réglementation. Mais la FFVL invite ces derniers de toutes ses forces à suivre une formation en école labellisée École française de kite (EFK), puis à intégrer un club affilié FFVL afin notamment de ne pas mettre en danger le travail de négociation mis en œuvre par ces structures locales.
Nous sommes donc dans votre reportage en présence d’une vision des choses parcellaire voire orientée qui jette le discrédit sur tous ceux qui travaillent à l’information et à la sécurité car, rassurez vous, ce sport, au sein de notre fédération, a des règles, des techniciens, une commission Sécurité et technique, une commission Médicale, plus de cent clubs et quatre-vingt dix écoles pour vingt mille pratiquants qui ne sont pas des fanatiques violents. Nous regroupons aussi des compétiteurs responsables et des sections jeunes pour le plus grand bonheur des parents et des jeunes pratiquants.
Au lendemain de la sélection de l’activité pour les prochains jeux Olympiques, nous laissons vos téléspectateurs imaginer que le kitesurf ait pu être choisi s’il avait présenté des risques pour le grand public.

Votre reportage manque manifestement d’objectivité et nous ne pouvons l’accepter. Nous demandons donc à votre équipe d’accepter de rencontrer les différents acteurs qui participent au kite d’aujourd’hui et de demain pour leur permettre également de s’exprimer et de faire partager leur passion.
Sportivement,
Je trouve ça vraiment pas mal...
N/Réf. : JS-FDL120808-Reportage M6-Zone Interdite
Relais technique : François Cuizinaud Relais secrétariat : Marilyn Peirano
Objet : Reportage M6 – Zone Interdite
COMMUNIQUE
La Fédération française de vol libre (FFVL), délégataire de l’État pour le kite, s’insurge du contenu de votre reportage diffusé dans l’émission Zone Interdite du 1er août, lequel ne constitue qu’un très pâle reflet de la réalité. Car chaque jour des centaines de bénévoles et de professionnels concourent à l’essor structuré du kitesurf qui rayonne à présent bien au-delà de nos frontières.
Cette activité sportive de glisse en pleine nature, d’invention française, à la fois technologique et écologique, a su séduire un grand nombre d’adeptes, leur apportant un développement physique complet ainsi qu’un sens des responsabilités et de la prise de décision qui constituent incontestablement un savoir-être à forte valeur ajoutée éducative.
Si l’on peut imaginer que la population fréquentant le littoral et s'adonnant à la baignade ne soit pas encore informée des quelques précautions à observer pour que tous, sportifs kiteurs et plaisanciers, cohabitent en parfaite harmonie, il n’est pas admissible que des professionnels de l’information présentent l’activité de la sorte, surtout lorsque, malheureusement, nombre de kitesurfeurs autodidactes manquent de connaissances sur la réglementation. Mais la FFVL invite ces derniers de toutes ses forces à suivre une formation en école labellisée École française de kite (EFK), puis à intégrer un club affilié FFVL afin notamment de ne pas mettre en danger le travail de négociation mis en œuvre par ces structures locales.
Nous sommes donc dans votre reportage en présence d’une vision des choses parcellaire voire orientée qui jette le discrédit sur tous ceux qui travaillent à l’information et à la sécurité car, rassurez vous, ce sport, au sein de notre fédération, a des règles, des techniciens, une commission Sécurité et technique, une commission Médicale, plus de cent clubs et quatre-vingt dix écoles pour vingt mille pratiquants qui ne sont pas des fanatiques violents. Nous regroupons aussi des compétiteurs responsables et des sections jeunes pour le plus grand bonheur des parents et des jeunes pratiquants.
Au lendemain de la sélection de l’activité pour les prochains jeux Olympiques, nous laissons vos téléspectateurs imaginer que le kitesurf ait pu être choisi s’il avait présenté des risques pour le grand public.

Votre reportage manque manifestement d’objectivité et nous ne pouvons l’accepter. Nous demandons donc à votre équipe d’accepter de rencontrer les différents acteurs qui participent au kite d’aujourd’hui et de demain pour leur permettre également de s’exprimer et de faire partager leur passion.
Sportivement,
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