Modérateurs : Aventout, lionel
Sancho san a écrit :Merci pour ces compliments, ca me touche beaucoup. Aller quelques bonus alors :
encore un peu de kite pour faire durer le plaisir
malgré nos 80 kilos de bagages, nous n'avons pas résisté à l'appel des andes
petit détour par zanzibar avant de rentrer
FunRider a écrit :Sancho san a écrit :Merci pour ces compliments, ca me touche beaucoup. Aller quelques bonus alors :
encore un peu de kite pour faire durer le plaisir
malgré nos 80 kilos de bagages, nous n'avons pas résisté à l'appel des andes
petit détour par zanzibar avant de rentrer
80kg de bagages!!
Vous étiez combien, avec quoi comme matos/bagages? Comment gériez-vous les déplacements d'un endroit/pays à l'autre avec tout ce poids?
D�d�� a écrit :C'est fou ce que les voyages peuvent apporter. On remarque bien dans la discussion qu'il y a ceux qui en rêvent mais qui osent pas et ceux qui l'ont fait et le referons surement. Ces derniers sont conscient que quelque soit l'effort que ça demande tel que abandonner son boulot et se chopper par les ****** pour se lancer dans l'inconnu, ça vaut 100000 fois le coup.
Je n'ai perso pas fais de tour du monde en kite mais des trips et quelques temps à l'étranger et je ne pourrais, avec mon humble expérience, que vous encourager à faire de même. Sa demande de sortir de tout ce que l'on vit et que l'on a construit (sans pour autant l'abandonner), mais ça semble impossible de le regretter à postériori. Pire, on se demandera certainement pourquoi on ne s'est pas lancé plus tôt.
Alors sortons de nos chaumières chers kiteux et faisons partis de ceux pour qui, en rêver ne suffit pas!!!
Sancho san a écrit :Nous étions 2 avec ma copine, j'avais 50 kilos et elle 30. J'avais une aile sur le ventre, mon sac de voyage (genre gros sac de rando) sur le dos, et le gros bag mystic à roulette que je trainais derrière. Ma copine avait aussi un gros sac de rando, plus son bordel de nana et le matos photo sur le ventre. Nous étions complètement autonome (matos de camping complet).
On a voyagé essentiellement en bus (25 000km en tout) ou en bateau (traversée colombie vers panama qui ne se fait pas par la terre à cause des FARC) sauf pour le détour au galapagos qui pour des raisons évidentes ne pouvait se faire qu'en avion. Au début on arrivait à pas mal marcher avec tout cet attirail puis au fur et a mesure on a appris à économiser notre énergie avec les taxis collectifs.
Je ne résiste pas au plaisir de partager le portrait de cette petite fille rencontrée dans la tribu des Wayuu dont le territoire est situé entre la colombie et le vénézuela sur une bande de terre balayée par les vents et déchiquetée par une mer démontée.
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