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Etre là à minuit à barrer un 60 pieds virtuel pour doubler un Cap Horn tout aussi imaginaire
Au sercours, je dois devenir fou
... à moins qu'après 2 mois de mer on se mette à parler seul
VIRTUAL CONTEST...
Modérateurs : Aventout, lionel
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Tu vas veiller pour passer ce cap qui précède ton retour aux Sables , et dès que tu l'auras franchi tu pourras te percer l'oreille comme le veux la tradition avec les moyens du bord (nan pas l'épissoire ) , ensuite tu avaleras quelques rasades d'un vieux rhum ...pour te réveiller avec une sacrée gueule de bois face à un océan capricieux face à toi.
Ce soir je me sens étrangement seul depuis que mon double m'a abandonné , c'est aussi la crainte d'entendre sa corne de brume lorsqu'il me dépassera à nouveau
Tu vois Hydrophil la nuit il se passe parfois des choses étranges sur nos claviers à défaut de barrer un vrai 60 pieds
) , ensuite tu avaleras quelques rasades d'un vieux rhum ...pour te réveiller avec une sacrée gueule de bois face à un océan capricieux face à toi.Ce soir je me sens étrangement seul depuis que mon double m'a abandonné , c'est aussi la crainte d'entendre sa corne de brume lorsqu'il me dépassera à nouveau
Tu vois Hydrophil la nuit il se passe parfois des choses étranges sur nos claviers à défaut de barrer un vrai 60 pieds
Alors j'avais anticipé tout ça, mais un peu dans le désordre...
- Le rhum est déjà servi... à défaut d'être vieux, il est arrangé vanille caramel
- faute d'aiguille à épissure matossée en soute depuis quelques bords, il me reste d'accessible un hameçon pour la pêche à la traîne que je conservais pour les dorades coryphènes de la zone d'alizées. Cela devait aller pour une perforation nette et franche du lobe mais je viens de marcher dessus et j'ai maintenant un bout d'acier rouillé enfiché dans le pied (même pas mal tiens)
- entre corne de brume et chants langoureux, je doute que nos ...oreilles puissent faire la différence après 2 mois de mer. Sont-ce des sirènes dont le chant arrive à mes oreilles encore vierges d'orrifice ?
Vite moussaillon, du dynema,
que je m'accroche au pied de mat,
avant que trop tard il ne soit !
Quand au soixante pieds, n'en étant resté qu'aux 60 pouces, n'est -ce pas un mal que l'aventure ne reste que virtuelle ???
Mais qu'à cela ne tienne, conservons les rêgles actuelles et navigons de carrés en carrés, à la recherche de vents portants dans l'attente de la sanction des 23h et de meilleurs vents
- Le rhum est déjà servi... à défaut d'être vieux, il est arrangé vanille caramel
- faute d'aiguille à épissure matossée en soute depuis quelques bords, il me reste d'accessible un hameçon pour la pêche à la traîne que je conservais pour les dorades coryphènes de la zone d'alizées. Cela devait aller pour une perforation nette et franche du lobe mais je viens de marcher dessus et j'ai maintenant un bout d'acier rouillé enfiché dans le pied (même pas mal tiens)
- entre corne de brume et chants langoureux, je doute que nos ...oreilles puissent faire la différence après 2 mois de mer. Sont-ce des sirènes dont le chant arrive à mes oreilles encore vierges d'orrifice ?
Vite moussaillon, du dynema,
que je m'accroche au pied de mat,
avant que trop tard il ne soit !
Quand au soixante pieds, n'en étant resté qu'aux 60 pouces, n'est -ce pas un mal que l'aventure ne reste que virtuelle ???
Mais qu'à cela ne tienne, conservons les rêgles actuelles et navigons de carrés en carrés, à la recherche de vents portants dans l'attente de la sanction des 23h et de meilleurs vents
EGaut515 a écrit :Tu vas veiller pour passer ce cap qui précède ton retour aux Sables , et dès que tu l'auras franchi tu pourras te percer l'oreille comme le veux la tradition avec les moyens du bord (nan pas l'épissoire
Ce soir je me sens étrangement seul depuis que mon double m'a abandonné , c'est aussi la crainte d'entendre sa corne de brume lorsqu'il me dépassera à nouveau
Tu vois Hydrophil la nuit il se passe parfois des choses étranges sur nos claviers à défaut de barrer un vrai 60 pieds
Ce n'est pas ma corne de brume que tu risques d'entendre mais le claquement de mes dents, lequel ne s'expliquant pas que par mon souhait de ne faire de toi qu'une bouchée, mais aussi par les effets de la grippe intestinale, accompagnée d'une fièvre de cheval (il y a quelques jours, j'aurais peut-être dû éviter d'évoquer l'idée que ça sent l'écurie
), qui ma soudainement pris pour victime tremblotante dans l'après-midi d'hier. 
Hydrophil a écrit :Alors j'avais anticipé tout ça, mais un peu dans le désordre...
- Le rhum est déjà servi... à défaut d'être vieux, il est arrangé vanille caramel
- faute d'aiguille à épissure matossée en soute depuis quelques bords, il me reste d'accessible un hameçon pour la pêche à la traîne que je conservais pour les dorades coryphènes de la zone d'alizées. Cela devait aller pour une perforation nette et franche du lobe mais je viens de marcher dessus et j'ai maintenant un bout d'acier rouillé enfiché dans le pied (même pas mal tiens)
- entre corne de brume et chants langoureux, je doute que nos ...oreilles puissent faire la différence après 2 mois de mer. Sont-ce des sirènes dont le chant arrive à mes oreilles encore vierges d'orrifice ?
Vite moussaillon, du dynema,
que je m'accroche au pied de mat,
avant que trop tard il ne soit !
Quand au soixante pieds, n'en étant resté qu'aux 60 pouces, n'est -ce pas un mal que l'aventure ne reste que virtuelle ???
Mais qu'à cela ne tienne, conservons les rêgles actuelles et navigons de carrés en carrés, à la recherche de vents portants dans l'attente de la sanction des 23h et de meilleurs vents
Si le 1er effet du cap Horn est effectivement l'oreille percée,
le second est visiblement de flirter avec un style écrit des plus léché.
vincente a écrit :je vois que ça trouve encore la force de frimer devant
Crois moi, pour certains ça frime de moins en moins
Ceci étant dit, étant 1....666ème Belzebuth m'habite alors, si vous avez l'instinct de conservation, vous n'hésiterez pas à me laisser route ouverte
....et, pendant que nous y sommes, je verrai d'un assez bon oeil que vous vous inclinassiez avec servilité à mon contact. 
nereides a écrit :Ceci étant dit, étant 1....666ème Belzebuth m'habite alors, si vous avez l'instinct de conservation, vous n'hésiterez pas à me laisser route ouverte
je profiterai bien de tes super pouvoirs d'envouté (s'ils existent
) , dit tu voudrais pas déchaîner toutes les forces du mal et de la mer pour que l'on puisse avancer sur un train d'enfer Je risque rien tu peux envoyer ton courroux , je suis en 911ème position comme mon nombre de poste , c'est le numéro des urgences
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