le top c'est le pulvérisateur de jardin !
tu pompes et après tu te concentres sur la recherche des bulles en envoyant un brouillard fin de liquide, sinon bonjour les crampes dans le poignets a force de pomper... (tjs mes 80 trous

)
un rond au marqueur noir sur les trous pour noter!
pas hésiter a gonfler bien fort, certains trous ne s'expriment qu'a partir d'une certaines pression, il faut trouver le compromis entre "mon boudin est tout deformé, je flip qu'il éclate" et "pas assez de pression pour voir les bulles".
le top je trouve c'est de le faire a l'avance sur l'aile montée: tu peux mettre de la mousse et gonfler a bloc de chez bloc sans crainte que le boudin n'éclate. Après tu fais un plan des zones ou ça mousse, et ensuite quand tu sera face a ton boudin nu, tu aura une bonne idée des zones à inspecter. Et meme si tu ne vois pas de mousse tu sais qu'il y a un trou donc => insiste!
Je l'ai fait en 3 passes : gonflage, repérage, bouche (40), regonflage, re-repérage, bouche (35), re-re-gonflage (

), re-re-repérage, bouche (5), un bout de saucisson pour me récompenser
Tout d'un coup c'est pas possible: certains gros trous font vite tomber la pression si bien qu'on en voit pas les petits, qu'on repèrera uniquement quand les gros seront bouchés

Sinon pour tenir le boudin dans le jardin, j'ai relié deux disques de muscu avec un bout de ligne de kite, et je passe le boudin en dessous: ça évite que ça ne s'envole et crée une catastrophe
Vu la pression nécessaire pour voir tous les trous, laisse tombe la méthode de la baignoire pour un BA, à moins que t'ai une salle de bain XXL qui te permette de gonfler DUR et de manipuler ton boudin (8-10m de long rapidement...)
Avec un bon CD dans les oreilles, du beau temps et sans se mettre la pression

c'est finalement pas si désagréable et laborieux. En tout cas moins chiant que le démontage/remontage de l'aile (octopus naish trop CHIANT)