Mon retour sur L'UCPA Dakhla Dreamkite
Posté : ven. 6 sept. 2019 21:48
J’ai fait un stage d‘une semaine avec L'UCPA Dakhla DREAMKITE, du 29/08/19 au 05/09/2019. Dans ce témoignage, je vais vous dévoiler la face noire de ce centre, et en particulier, celle de la directrice Mme Morgane RIDORET, qui est à mon avis, une personne ignoble avec ses stagiaires et qui essaye à tout prix de profiter de leur indulgence.
Tout d’abord, durant mon stage, Mme Morgane RIDORET avait mis en place des petits stratagèmes pour soutirer au maximum de l’argent aux stagiaires. Le premier était de faire du « chantage aux repas » afin de nous forcer à souscrire aux activités optionnelles. Par exemple, si nous ne souscrivions pas à la soirée SARAWIL (découverte de la culture SARAWIL dans une tente), nous ne pouvions pas avoir notre dîner habituel (compris dans la formule du stage) à la cantine du centre, car il fallait obligatoirement aller à la soirée pour pouvoir dîner. J’ai pu obtenir une dérogation, après quelques échanges houleux avec la directrice, et manger mon dîner dans un restaurant remboursé par le centre. Ce choix ne fut pas proposé aux autres stagiaires, qui certains étaient fatigués et auraient voulu renter à l’hôtel plus tôt. Le deuxième cas était à l’apéro des régions, que Mme Morgane RIDORET nous convie tous à y participer, et en même temps, nous invite aussi à ramener une bouteille d’alcool issue de notre terroir. L’apéro se déroulait très bien jusqu’au moment où nous allions tous dîner. La directrice ordonne à son équipe de jeter (ou cacher) toutes les bouteilles ramenées par les stagiaires, même celles qui n’étaient pas entamées ou terminées, dans l’unique but de faire tourner le bar du centre à plein régime. Elle a profité du fait que tout le monde était un peu inhibé et voulait continuer leur soirée avec de l’alcool (qui était aussi de facto imposée, car les navettes ne partaient qu’à deux heures du matin).
Le second point noir était l’hypocrisie de Mme Morgane RIDORET. Elle nous a tous indiqués au début du séjour que si nous avions le moindre problème ou remarque à faire, il ne fallait pas hésiter à le lui en parler en privé, et qu’on pouvait trouver une solution calmement. J’ai fait part de ma remarque concernant l’apéro des régions au moniteur principal, M. Charles Henry, qui a ensuite relayé l’information à la directrice. Mme Morgane RIDORET est venue en furie, telle une autruche enragée, devant notre hôtel à notre retour, pour m’insulter, m’humilier et profaner des menaces qui flirtaient avec l’illégalité, devant tout le groupe de stagiaires. Après cinq minutes d’échanges, j’ai dû couper court à la discussion car elle était devenue hystérique et incontrôlable. Ensuite, par méchanceté, elle m’a annulé ma dernière session de kitesurf, sans possibilités de remboursement, et elle m’a aussi exclu de la session photo des stagiaires.
Le troisième point noir était l’hôtel. Il était insalubre et infesté de punaises de lit. Les rebords de fenêtre regorgeaient de larves et d’œufs de punaises. J’ai été sévèrement piqué. Ma peau a fait une réaction allergique et les démangeaisons étaient devenues insoutenables. À ce jour, j’en garde encore les traces. J’en ai aussi parlé à M. Charles Henry, sa réponse fut déconcertante : « Tu es un cas exceptionnel et nous n’avions jamais eu ce genre de problème auparavant, donc ce n’est pas notre problème ». Je lui ai aussi demandé si je pouvais consulter un médecin afin qu’il puisse me donner un traitement adéquat pour soulager les démangeaisons, et sa réponse fut : « Nous n’envoyons pas les stagiaires chez un médecin pour ce genre de problème, retiens-toi de te gratter et fais avec ». Il semblerait que la direction de ce centre ne soit pas consciente qu’une allergie peut être potentiellement mortelle, et que par ce genre de réaction, ils mettent volontairement la vie d’autrui en danger.
Autre point à souligner, M. Charles Henry m’a faussement accusé de vouloir « abîmer » le matériel et de « saccager » le centre. Je lui ai demandé de me montrer les vidéos des caméras de surveillance, pour me confirmer ce qu’il avance. Ma demande fut déclinée par M. Charles Henry. Était-ce une autre combine pour vider les poches des stagiaires ? En tout cas, la tentative fut infructueuse.
Dakhla est un endroit magnifique pour faire du kitesurf et je recommande vivement ce spot pour tous les afficionados. J’ai pu apprendre de nouvelles techniques et m’amuser sur la lagune avec un groupe de stagiaire sympathique. Ce séjour fut juste gâché par une direction qui était constamment CONTRE le client au lieu d’être AVEC afin qu’il s’épanouisse. L'UCPA Dakhla DREAMKITE est à fuir comme la peste, tant qu’il y aura une directrice à la personnalité sadique et à la fois mesquine, qui se soucie uniquement de faire du profit à outrance.
Tout d’abord, durant mon stage, Mme Morgane RIDORET avait mis en place des petits stratagèmes pour soutirer au maximum de l’argent aux stagiaires. Le premier était de faire du « chantage aux repas » afin de nous forcer à souscrire aux activités optionnelles. Par exemple, si nous ne souscrivions pas à la soirée SARAWIL (découverte de la culture SARAWIL dans une tente), nous ne pouvions pas avoir notre dîner habituel (compris dans la formule du stage) à la cantine du centre, car il fallait obligatoirement aller à la soirée pour pouvoir dîner. J’ai pu obtenir une dérogation, après quelques échanges houleux avec la directrice, et manger mon dîner dans un restaurant remboursé par le centre. Ce choix ne fut pas proposé aux autres stagiaires, qui certains étaient fatigués et auraient voulu renter à l’hôtel plus tôt. Le deuxième cas était à l’apéro des régions, que Mme Morgane RIDORET nous convie tous à y participer, et en même temps, nous invite aussi à ramener une bouteille d’alcool issue de notre terroir. L’apéro se déroulait très bien jusqu’au moment où nous allions tous dîner. La directrice ordonne à son équipe de jeter (ou cacher) toutes les bouteilles ramenées par les stagiaires, même celles qui n’étaient pas entamées ou terminées, dans l’unique but de faire tourner le bar du centre à plein régime. Elle a profité du fait que tout le monde était un peu inhibé et voulait continuer leur soirée avec de l’alcool (qui était aussi de facto imposée, car les navettes ne partaient qu’à deux heures du matin).
Le second point noir était l’hypocrisie de Mme Morgane RIDORET. Elle nous a tous indiqués au début du séjour que si nous avions le moindre problème ou remarque à faire, il ne fallait pas hésiter à le lui en parler en privé, et qu’on pouvait trouver une solution calmement. J’ai fait part de ma remarque concernant l’apéro des régions au moniteur principal, M. Charles Henry, qui a ensuite relayé l’information à la directrice. Mme Morgane RIDORET est venue en furie, telle une autruche enragée, devant notre hôtel à notre retour, pour m’insulter, m’humilier et profaner des menaces qui flirtaient avec l’illégalité, devant tout le groupe de stagiaires. Après cinq minutes d’échanges, j’ai dû couper court à la discussion car elle était devenue hystérique et incontrôlable. Ensuite, par méchanceté, elle m’a annulé ma dernière session de kitesurf, sans possibilités de remboursement, et elle m’a aussi exclu de la session photo des stagiaires.
Le troisième point noir était l’hôtel. Il était insalubre et infesté de punaises de lit. Les rebords de fenêtre regorgeaient de larves et d’œufs de punaises. J’ai été sévèrement piqué. Ma peau a fait une réaction allergique et les démangeaisons étaient devenues insoutenables. À ce jour, j’en garde encore les traces. J’en ai aussi parlé à M. Charles Henry, sa réponse fut déconcertante : « Tu es un cas exceptionnel et nous n’avions jamais eu ce genre de problème auparavant, donc ce n’est pas notre problème ». Je lui ai aussi demandé si je pouvais consulter un médecin afin qu’il puisse me donner un traitement adéquat pour soulager les démangeaisons, et sa réponse fut : « Nous n’envoyons pas les stagiaires chez un médecin pour ce genre de problème, retiens-toi de te gratter et fais avec ». Il semblerait que la direction de ce centre ne soit pas consciente qu’une allergie peut être potentiellement mortelle, et que par ce genre de réaction, ils mettent volontairement la vie d’autrui en danger.
Autre point à souligner, M. Charles Henry m’a faussement accusé de vouloir « abîmer » le matériel et de « saccager » le centre. Je lui ai demandé de me montrer les vidéos des caméras de surveillance, pour me confirmer ce qu’il avance. Ma demande fut déclinée par M. Charles Henry. Était-ce une autre combine pour vider les poches des stagiaires ? En tout cas, la tentative fut infructueuse.
Dakhla est un endroit magnifique pour faire du kitesurf et je recommande vivement ce spot pour tous les afficionados. J’ai pu apprendre de nouvelles techniques et m’amuser sur la lagune avec un groupe de stagiaire sympathique. Ce séjour fut juste gâché par une direction qui était constamment CONTRE le client au lieu d’être AVEC afin qu’il s’épanouisse. L'UCPA Dakhla DREAMKITE est à fuir comme la peste, tant qu’il y aura une directrice à la personnalité sadique et à la fois mesquine, qui se soucie uniquement de faire du profit à outrance.