Gestion de (très) grosses rafales...
Posté : lun. 22 févr. 2016 15:55
Salut à tous,
Comme le death loop déjà discuté par ailleurs, l'autre truc qui fait flipper, c'est la « très grosse rafale »...
Exemple : celle qui a envoyé (et tué...) un kiter sur le toit du centre équestre au Jaï (passage de <20 noeuds à 40 noeuds en quelques secondes) fin 2013, ou plus récemment celle qui a fait faire un vol de 300 mètres à Alicante, heureusement terminé sans trop grosse casse (une jambe cassée et quelques contusions, je crois).
Bref, comment pensez-vous qu'il faille gérer ce genre de situation ?
0. Le cas où le vent monte fort, mais pas instantanément et on se retrouve (vraiment) surtoilé
Mon avis : si on peut encore naviguer sans s'envoler, on se rapproche (un peu) de la plage, on se met en bord de fenêtre, sur l'eau et on attend la main sur le largueur. Si ça ne se calme pas et que ça monte trop, on largue.
1. La cas où l'on voit venir la très grosse rafale ingérable.
Mon avis :
- ne pas rentrer vers la plage, mettre l'aile en bord de fenêtre, sur l'eau et attendre avec la main sur le largueur. Voire larguer en prévention : il vaut sans doute mieux larguer pour rien sur une rafale qu'on aurait pu encaisser que l'inverse.
2. La rafale ingérable qu'on ne voit pas venir
Mon avis : pas d'avis éclairé. Si on est sur l'eau et qu'on s'envole, larguer à l'amerrissage. Si on est sur la plage (ou suffisamment près) et qu'on a fait l'erreur d'avoir l'aile au zétith, qu'on se fait lifter au dessus du dur, tenter de gérer le vol ou « faire ce qu'on peut », c'est un cas où l'on peut difficilement apporter une solution claire et rassurante.
Des infos/avis/remarques/ajouts/corrections ???
À vous le micro,
G.
Comme le death loop déjà discuté par ailleurs, l'autre truc qui fait flipper, c'est la « très grosse rafale »...
Exemple : celle qui a envoyé (et tué...) un kiter sur le toit du centre équestre au Jaï (passage de <20 noeuds à 40 noeuds en quelques secondes) fin 2013, ou plus récemment celle qui a fait faire un vol de 300 mètres à Alicante, heureusement terminé sans trop grosse casse (une jambe cassée et quelques contusions, je crois).
Bref, comment pensez-vous qu'il faille gérer ce genre de situation ?
0. Le cas où le vent monte fort, mais pas instantanément et on se retrouve (vraiment) surtoilé
Mon avis : si on peut encore naviguer sans s'envoler, on se rapproche (un peu) de la plage, on se met en bord de fenêtre, sur l'eau et on attend la main sur le largueur. Si ça ne se calme pas et que ça monte trop, on largue.
1. La cas où l'on voit venir la très grosse rafale ingérable.
Mon avis :
- ne pas rentrer vers la plage, mettre l'aile en bord de fenêtre, sur l'eau et attendre avec la main sur le largueur. Voire larguer en prévention : il vaut sans doute mieux larguer pour rien sur une rafale qu'on aurait pu encaisser que l'inverse.
2. La rafale ingérable qu'on ne voit pas venir
Mon avis : pas d'avis éclairé. Si on est sur l'eau et qu'on s'envole, larguer à l'amerrissage. Si on est sur la plage (ou suffisamment près) et qu'on a fait l'erreur d'avoir l'aile au zétith, qu'on se fait lifter au dessus du dur, tenter de gérer le vol ou « faire ce qu'on peut », c'est un cas où l'on peut difficilement apporter une solution claire et rassurante.
Des infos/avis/remarques/ajouts/corrections ???
À vous le micro,
G.