ptigwendu a écrit :Tes photos sont vraiment chouettes!
Si c'est pas un secret, pourrais tu me dire quel réglage fais tu le plus souvent sur ton 550 suivant les conditions?
Enfin surtout ouverture, vitesse, sensibilité..
Merci!
Hello ! Merci merci

Ce n'est pas un secret effectivement, c'est écrit en dessous de chaque photo (ou presque). Et sinon j'ai donné l'accès aux données "Exif" des photos.
Mais sinon pour te faire une réponse plus personnelle, c'est très difficile de te donner une règle pour chaque type de photo. Mais grosso modo, me concernant, je travaille uniquement en semi-manuel (priorité ouverture), j'ai toujours un pied de table fixé sous mon boitier au cas ou. En principe pour une photo de paysage, je ferme jusqu'à f14, f16 maxi (j'évite d'aller trop au delà pour limiter la perte de piqué aux extrémités de l'image), mais je suis plutôt entre f8 et f12. En portrait j'ouvre aux alentours de f2.8. Pour des effets artistiques plus poussés j'ouvre jusqu'à f1.8 (limite de ma focale). Pour prendre du kite, j'ouvre le moins possible (f4 max) -ca limite les erreurs de mise au point- et pour essayer d'obtenir une vitesse d'obturation à 1/300è au moins -pour éviter les flous de mouvements-. Et dans toutes ces situations, si je peux utiliser mon pied je le fais pour descendre le plus souvent possible à 100 ISO. Ah oui, et en général je règle mon bracket à -1/3 pour éviter les sur-expositions qui sont plus délicats à retoucher que les sous-expositions. Ah et très important : le filtre polarisant ! pour des photos marines, avec un beau ciel bleu, ca te changera la vie

Ensuite il ne faut pas hésiter à laisser libre court à son imagination, s'acharner sur un sujet, tourner autour, trouver le meilleur angle, le meilleur moment, le meilleur réglage. Ne pas se contenter d'un click... certaines erreurs ne seront flagrantes que sur l'écran de l'ordi.
Et finalement, pareil faut s'acharner avec lightroom (et photoshop dans certaines situations) jusqu'à trouver les meilleurs retouches. Ne pas hésiter aussi à laisser reposer un travail en cours, et y revenir quelques jours plus tard, l'inspiration ne se commande pas.
Voilà amigo, tu sais tout
