les oisaux et les humains volants pour n.l.c
Modérateurs : Aventout, lionel
les oisaux et les humains volants pour n.l.c
salut gars<br><br>ce que je peux te dire de par mon expérience dans le parapente, est que l'impact n'est pas toujours celui que nous croyons.<br>sur de nombreux site de vol de parapente, les assos écologistes ont tiré a boulets blancs, en prétextant que l'activité sportive réduisait le nidification d'espèce comme les faucons pèlerins et autres petits rapaces.<br><br>aprés enquètes, nous avons pu constaté l'épanouissement et l'augmentation démographique de ces espèces.<br>dans les alpes comme dans les pyrénnées où les vautours prennent un malin plaisir à exploiter les ascendances avec les libéristes.<br><br>par contre nous nous sommes aperçu que les assos des défenseurs de la faune et la flore etaient bien souvent des assos de riverains voulant protéger leurs habitats et non pas ceux des autres.<br><br>pour le kite et d'un ordre général,<br>l'activité sportive par elle même, si elle n'est pas motorisé et ou polluante, n'engendre peux de problèmes de voisinage avec la faune locale.<br>c'est plutot l'usage des accés a certains spots, le manque de respect de certains avec leur déchets, la présence d'animaux domestiques de ceux qui accompagnent etc qui provoquent les plus grands maux.<br><br>les oiseaux craignent moins les kites que les hydrocarbures.<br>un simple chien urinant écarte plus de possibilité de nidification que tout un bataillon de kite réuni.<br>++
Différentes études ont effectivement été réalisées sur les i
Différentes études ont effectivement été réalisées sur les impacts du parapente (et autres engins volants) en milieu montagnard : études sur les marmottes, les bouquetins, les cervidés, les tetras et autres volatiles. <br><br>Ton message est intéressant. Si je résume, certaines interactions sport / environnement cachent en réalité des enjeux sociaux (conflits d'usage) en réalité plus profonds.<br><br>
Hello,,,C'est pas du kite mais bon c'est quand meme un peu l
Hello,<br><br>C'est pas du kite mais bon c'est quand meme un peu le sujet.<br>Sur notre site de parapente, les faucons pelerins sont revenus apres plusieurs (dizaines?) années d'absence malgré la frequentation elevée du site. Les premiers années, ils piaillaient un peu au moment de la nidification si on passait a moins de 30-40 m.<br>Maintenant ils n'en ont plus rien a carrer! comme les autres oiseaux d'ailleurs (sauf les migrateurs qui eux sont "encore" curieux et viennet nous voir)<br><br>En esperant que ton etude puisse convanicre les ecolos extremistes...<br>
- saucisseman
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Je crois que les oiseaux s'adaptent et comprennent rapidemen
Je crois que les oiseaux s'adaptent et comprennent rapidement que les engins volants ne représentent pas de danger pour eux. On le voit bien sur les aeroports ou les jets ne les effraient pas du tout, et ils trouvent tres pratique cette grande zone ou personne ne vient, d'ou une surpopulation d'oiseaux qui pose un vrai probleme pour les avions.<br>Je crois que tama a tout dit, c'est pas l'engin volant qui crée un probleme, mais l'acces de son pratiqunt à la zone avec eventuellment ses animaux domestiques, et je veux bien croire que les territoires à defendre soient plus ceux des riverains que des oiseaux.
j'ai navigué en septembre au delta de l'ebre en espagne, où
j'ai navigué en septembre au delta de l'ebre en espagne, où il y a une population d'oiseaux très importante ( parc naturel) , j'ai eu quelques fois la surprise de voir des oiseaux jouer avec mon aile, à une dizaine ou vingtaine de mètres, ils suivaient les oscillations et retournaient si je repartais dans l'autre sens, c'étaient des petits oiseaux noirs genre limicoles
Des hirondelles peut être ?,Je plaisante.
Des hirondelles peut être ?<br>Je plaisante.
Le problème du potentiel dérangement, quelqu'en soit la caus
Le problème du potentiel dérangement, quelqu'en soit la cause (cyclistes, kiteurs, pêcheurs à pied, promeneurs avec ou sans chien, etc.etc.) reste sa mesure, pas toujours facile à mettre en oeuvre. <br><br>L'une des méthodes les plus utilisées par les ornithos est le calcul de la "distance de fuite" des oiseaux à l'approche d'une source de dérangement. <br>En d'autres termes, on crée un dérangement forcé (par exemple on simule l'approche d'un promeneur en direction d'un groupe d'oiseaux) et on mesure la distance entre la source de dérangement et le positionnement de l'oiseau au moment où il quitte sa position.<br><br>Résultats : Certains oiseaux présentent une forte accoutumance à l'homme (il n'y a qu'a voir les pigeons à Paris : distances de fuite de quelques centimètres). <br>D'autres oiseaux beaucoup plus sensibles présentent des distances de fuite de plusieurs centaines de mètres (jusqu'à 300/400m); fuite qu'un simple observateur ne peut percevoir si les oiseaux sont de petites tailles.<br><br>Peut être serait-intéressant de réaliser des calculs de distance de fuite en proposant à des kiteurs de réaliser eux-mêmes les manips ? <br><br>A voir...<br><br>Nico<br>
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