Moi profession libérale mais travaillant sur rendez-vous. Je me suis dégagé une après-midi dans la semaine... Donc quand j'ai de la chance elle est ventée (sinon le weekend) ! Les autres jours je finis à 19h30 donc c'est souvent déjà beaucoup trop tard. Mais impossible de tout décommander à la dernière minute quand le vent souffle C'est frustrant. J'ai l'impression de ne presque pas faire de session... mais pas trop le choix. Il faudrait changer de métier !
Après comme l'a bien fait remarquer Vincente, je suis propriétaire de ma baraque et je dois aussi payer ma voiture (pour aller bosser c'est plus pratique). Donc forcement ca fait cher à la fin du mois et ca limite le temps que l'on peut prendre (en libéral, un jour de pris est un jour non payé !) ainsi que les vacances...
kite et boulot ???
Modérateurs : Aventout, lionel
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lolinkite17 a écrit :Moniteur d'eps, c'est surf ou kite le mercredi, le week end et les vacances scolaires + vtt, muscu, piscine, course à pieds, macramé, point de croix, la famille...
bon la on passe, tu es hors concours!!!!! j'ai loupé ma vocation... j'ai un pote qui a le meme metier que toi , je l'envie . mais comme un gros con qd j'etais a l'université , il ya des gars du staps qui m'ont degouté... mais je suis hors sujet ...
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J'ai la chance d'habiter " on the beach", l'aire de décollage étant mon jardin.
Quand j'ai besoin de me socialiser, je vais sur le spot qui se situe à 300 mètres de chez moi.
Le Must étant de m'y rendre en Kayak, émissions de CO2 = 0 !!!!
Dans le bâtiment, donc journée de boulot pliée vers 14-15h.
Heureux possesseur de Flysurfer, donc nav possible dès 7 nds, en Skim, Aska ou TT. Cela permet de naviguer au moins 5 jours par semaine....
Lagon avec vagues sur la barrière ou gros flat avec une eau toujours autour des 28°.
De plus, ma moitié est une kiteuse accroc aussi, donc oui, il est possible de choisir son mode de vie et de satisfaire ses aspirations.
Quand j'ai besoin de me socialiser, je vais sur le spot qui se situe à 300 mètres de chez moi.
Le Must étant de m'y rendre en Kayak, émissions de CO2 = 0 !!!!
Dans le bâtiment, donc journée de boulot pliée vers 14-15h.
Heureux possesseur de Flysurfer, donc nav possible dès 7 nds, en Skim, Aska ou TT. Cela permet de naviguer au moins 5 jours par semaine....
Lagon avec vagues sur la barrière ou gros flat avec une eau toujours autour des 28°.
De plus, ma moitié est une kiteuse accroc aussi, donc oui, il est possible de choisir son mode de vie et de satisfaire ses aspirations.
heu....c'est moi ou ya que des mecs qui ont décidé de nous dégouter en nous montrant leur cadre de vie de reve sur une ile paradisiaque , rendant honteux le kiteux lambda OBLIGE de prendre sa voiture pour aller rider et encore plus honteux obligé de voyager en avions pour aller sur des spots idylliques...
Parce que perso j'suis a 20 min des spots les plus proches (en voiture!), j'estime que j'suis pas trop mal situé même si en ce moment j'suis obligé de mettre gants cagoule chaussons pour aller nav dans de l'eau à 12°C, 4m de houle, 30 noeuds et 0°C dans l'air en ressenti!
Sinon mon métier? Chomeur ! Mais j'compte pas le rester trop longtemps c'est trop ennuyeux comme taf ...
Parce que perso j'suis a 20 min des spots les plus proches (en voiture!), j'estime que j'suis pas trop mal situé même si en ce moment j'suis obligé de mettre gants cagoule chaussons pour aller nav dans de l'eau à 12°C, 4m de houle, 30 noeuds et 0°C dans l'air en ressenti!
Sinon mon métier? Chomeur ! Mais j'compte pas le rester trop longtemps c'est trop ennuyeux comme taf ...
Salut. Moi je bosse sur des plateformes pétrolières : 1 mois de boulot, 1 mois de vacances. A chaque vacance, je fais un voyage pour le kite (ou autre activité, parapente, parachute, ski), soit 5 à 6 voyages par an. J'ai choisi ce job pour ce rythme de vie particulier. Avantages : du temps pour kiter, budget no limit . Inconvénient : pas de vie de famille, bilan carbone très très mauvais . Quand je vois le post de Willis par exemple, ça me fait envie... L'herbe est toujours plus verte ailleurs .
- julesrideur05
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J'habitais à Poitiers, loin de la mer, avec un boulot à plein temps. Cela ne m'a pas posé de problème durant 12 ans, jusqu'à ce que je fasse l'erreur de me remettre au windsurf, puis que j'y ajoute le kitesurf.
Du coup, j'ai changé de boulot (prof), changé de lieu de vie (Gujan Mestras, à coté d'Arcachon entre 5 et 15 minutes pour les spots), je vais au travail en train (pas cher et écolo) et je suis beaucoup plus détendu. Je n'ai que 3 jours de bloqués par les cours par semaine, sur 25 semaines dans l'année. Pour le reste, je m'organise dans mon travail (préparation et corrections) comme je veux, c'est à dire en dehors des heures de vent, ou bientôt de surf . Si je n'étais pas occupé par ailleurs par d'autres loisirs, cela donnerait une centaine de sessions wind et kite par année.
Coté finance, c'est le même salaire, mais par contre, vu le prix de l'immobilier dans le Sud-Ouest, je suis reparti pour 12 ans de crédit immobilier en plus. La Bretagne aurait été moins chère. Mais d'un autre coté, vivant dans une zone de vacances, je ne ressent plus trop le besoin de partir l'été m'entasser en camping ou dans des locations au bord de la mer.
Mon seul regret : si j'avais pris ma décision un an plus tôt, je serai sans doute à Nouméa à cette heure là
Du coup, j'ai changé de boulot (prof), changé de lieu de vie (Gujan Mestras, à coté d'Arcachon entre 5 et 15 minutes pour les spots), je vais au travail en train (pas cher et écolo) et je suis beaucoup plus détendu. Je n'ai que 3 jours de bloqués par les cours par semaine, sur 25 semaines dans l'année. Pour le reste, je m'organise dans mon travail (préparation et corrections) comme je veux, c'est à dire en dehors des heures de vent, ou bientôt de surf . Si je n'étais pas occupé par ailleurs par d'autres loisirs, cela donnerait une centaine de sessions wind et kite par année.
Coté finance, c'est le même salaire, mais par contre, vu le prix de l'immobilier dans le Sud-Ouest, je suis reparti pour 12 ans de crédit immobilier en plus. La Bretagne aurait été moins chère. Mais d'un autre coté, vivant dans une zone de vacances, je ne ressent plus trop le besoin de partir l'été m'entasser en camping ou dans des locations au bord de la mer.
Mon seul regret : si j'avais pris ma décision un an plus tôt, je serai sans doute à Nouméa à cette heure là
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