Le KITE dans 50 ou 100 ans ! A votre avis ??? Lâchons nous !
Modérateurs : Aventout, lionel
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1 seule aile pour toutes les conditions: j'y crois pas.
Matos indesctructible: j'y crois pas
les fabricants ne vont pas scier la branche sur laquelle ils sont assis.
leur modèle économique fonctionne sur ces principes:
1/ Vendre plus qu'une aile au même utilisateur
2/ des ailes qui sont des "consommables".
Donc des ailes qui s'usent et donc qu'il faut renouveler.
je rejoins assez l'analyse optimiste faite plus tôt:
Côté matos
.plus sécurisant (avec des systèmes de largages intuitifs),
.plus écolo
.probablement que des profils vraiment adaptés à des lignes courtes (10mètres ou moins) verront le jour (j'imagine que les marques bossent déjà sur cette direction)
côté sites de pratiques:
.une gestion toujours plus compliquée de l'espace disponible et à partager (d'où le besoin de lignes vraiment courtes)
.Dans 50 ans, plus un seul spot ne sera vierge! ça c'est certain.
côté pratiquants:
je ne crois pas à un accroissement exponentiel du nombre de pratiquants.
le sport était extrême (considéré comme, ou vraiment extrême? à ces débuts. il attirait donc par son côté adrénaline. Puis il est passé d'extrême à accessible. C'est pourquoi il est devenu "à la mode". En se banalisant, il deviendra moins attrayant pour les non-pratiquants.
Côté sportif/performance: probablement un jour où l'autre le sport sera au JO, sous une forme ou une autre. Probablement qu'un "tour du monde en kite" aura été réalisé.
Matos indesctructible: j'y crois pas
les fabricants ne vont pas scier la branche sur laquelle ils sont assis.
leur modèle économique fonctionne sur ces principes:
1/ Vendre plus qu'une aile au même utilisateur
2/ des ailes qui sont des "consommables".
Donc des ailes qui s'usent et donc qu'il faut renouveler.
je rejoins assez l'analyse optimiste faite plus tôt:
Côté matos
.plus sécurisant (avec des systèmes de largages intuitifs),
.plus écolo
.probablement que des profils vraiment adaptés à des lignes courtes (10mètres ou moins) verront le jour (j'imagine que les marques bossent déjà sur cette direction)
côté sites de pratiques:
.une gestion toujours plus compliquée de l'espace disponible et à partager (d'où le besoin de lignes vraiment courtes)
.Dans 50 ans, plus un seul spot ne sera vierge! ça c'est certain.
côté pratiquants:
je ne crois pas à un accroissement exponentiel du nombre de pratiquants.
le sport était extrême (considéré comme, ou vraiment extrême? à ces débuts. il attirait donc par son côté adrénaline. Puis il est passé d'extrême à accessible. C'est pourquoi il est devenu "à la mode". En se banalisant, il deviendra moins attrayant pour les non-pratiquants.
Côté sportif/performance: probablement un jour où l'autre le sport sera au JO, sous une forme ou une autre. Probablement qu'un "tour du monde en kite" aura été réalisé.
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ricolerouquin
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- Enregistré le : mar. 25 mai 2010 19:53
Jerome a écrit :côté pratiquants:
je ne crois pas à un accroissement exponentiel du nombre de pratiquants.
le sport était extrême (considéré comme, ou vraiment extrême? à ces débuts. il attirait donc par son côté adrénaline. Puis il est passé d'extrême à accessible. C'est pourquoi il est devenu "à la mode". En se banalisant, il deviendra moins attrayant pour les non-pratiquants.
Il n'y a pas que l'effet de mode. L'été en particulier, que ce soit à la mode ou pas, que l'image soit passée d'extrême à accessible, quand tu navigues sur une plage où des gens n'ont jamais vu un kite naviguer de près, certains te regardent avec les yeux qui pétillent. Cet été en sortant de l'eau j'ai eu plusieurs fois droit à des "ça doit donner de sacrées sensations votre truc, et puis ça n'a pas l'air si difficile !".
Bon OK, c'est une population de gens qui ne viennent à la mer que l'été et qui voient donc rarement des kites de près, mais mode ou pas, je pense que ça va continuer à se démocratiser... Juste parce que c'est sympa et justement accessible
!En tout cas, ce constat estival est plutôt positif sur un aspect : l'année dernière je sentais bien qu'on en effrayait encore certains sur les plages. Cette année, j'ai trouvé les gens beaucoup plus positifs dans les échanges en sortant de l'eau. Bon cela dit, c'est ce que j'ai constaté sur les 2 plages où j'ai navigué en Loire-Atlantique, pas sûr que ce soit le ressenti de tout le monde après l'été
.continuer à se démocratiser, on est bien d'accord.
C'est de toute façon l'intérêt de l'Industrie du Kite donc normalement dans cette direction que le sport va aller, n'en déplaise à Manix.
En tout cas dans nos contrées (ce que nous appelons l'Occident) je pense que le nombre de pratiquants va continuer à augmenter mais pas au rythme auquel il s'est développé depuis ces 6-7 dernières années.
les marques vont avoir besoin de se chercher de nouveaux consommateurs. Ils les trouveront en Asie, en Amérique du Sud et probablement en Afrique. Dans 50ans, combien de togolais, somaliens, colombiens, chinois, vietnamiens feront du kite? et dans ces pays combien d'écoles? combien de sites de pratiques?
Perso je crois plus que les vraies questions sur le devenir du kite sont là, dans les 50 années à venir. Je ne crois absolument pas à du kite WIFI, du matos bourré d’électronique ou d'électrique et d'assistants au pilotages. Parce que selon moi, le fondement d'un sport, quel qu'il soit* c'est bien d'offrir à l'utilisateur un contrôle de sa trajectoire et ou de sa performance par une action physique et une analyse de son environnement. ce n'est pas grâce à une technologie "sans fil" ou autre innovation de ce type.
(*je mets peut-être la Formule 1 à part dans cette définition du sport. La Formule 1 étant pour moi un sport mais aussi un laboratoire technologique pour valider des directions à donner à l'industrie automobile.)
après la question initiale intégrait aussi "quid du kite dans 100ans!" perso, je ne sais déjà pas quand sera ma prochaine nav', partant de là je suis bien incapable de tenter un projection sur le kite dans 100ans
C'est de toute façon l'intérêt de l'Industrie du Kite donc normalement dans cette direction que le sport va aller, n'en déplaise à Manix.
En tout cas dans nos contrées (ce que nous appelons l'Occident) je pense que le nombre de pratiquants va continuer à augmenter mais pas au rythme auquel il s'est développé depuis ces 6-7 dernières années.
les marques vont avoir besoin de se chercher de nouveaux consommateurs. Ils les trouveront en Asie, en Amérique du Sud et probablement en Afrique. Dans 50ans, combien de togolais, somaliens, colombiens, chinois, vietnamiens feront du kite? et dans ces pays combien d'écoles? combien de sites de pratiques?
Perso je crois plus que les vraies questions sur le devenir du kite sont là, dans les 50 années à venir. Je ne crois absolument pas à du kite WIFI, du matos bourré d’électronique ou d'électrique et d'assistants au pilotages. Parce que selon moi, le fondement d'un sport, quel qu'il soit* c'est bien d'offrir à l'utilisateur un contrôle de sa trajectoire et ou de sa performance par une action physique et une analyse de son environnement. ce n'est pas grâce à une technologie "sans fil" ou autre innovation de ce type.
(*je mets peut-être la Formule 1 à part dans cette définition du sport. La Formule 1 étant pour moi un sport mais aussi un laboratoire technologique pour valider des directions à donner à l'industrie automobile.)
après la question initiale intégrait aussi "quid du kite dans 100ans!" perso, je ne sais déjà pas quand sera ma prochaine nav', partant de là je suis bien incapable de tenter un projection sur le kite dans 100ans
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ricolerouquin
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Jerome a écrit :continuer à se démocratiser, on est bien d'accord.
C'est de toute façon l'intérêt de l'Industrie du Kite donc normalement dans cette direction que le sport va aller, n'en déplaise à Manix.
En tout cas dans nos contrées (ce que nous appelons l'Occident) je pense que le nombre de pratiquants va continuer à augmenter mais pas au rythme auquel il s'est développé depuis ces 6-7 dernières années.
les marques vont avoir besoin de se chercher de nouveaux consommateurs. Ils les trouveront en Asie, en Amérique du Sud et probablement en Afrique. Dans 50ans, combien de togolais, somaliens, colombiens, chinois, vietnamiens feront du kite? et dans ces pays combien d'écoles? combien de sites de pratiques?
Perso je crois plus que les vraies questions sur le devenir du kite sont là, dans les 50 années à venir. Je ne crois absolument pas à du kite WIFI, du matos bourré d’électronique ou d'électrique et d'assistants au pilotages. Parce que selon moi, le fondement d'un sport, quel qu'il soit* c'est bien d'offrir à l'utilisateur un contrôle de sa trajectoire et ou de sa performance par une action physique et une analyse de son environnement. ce n'est pas grâce à une technologie "sans fil" ou autre innovation de ce type.
(*je mets peut-être la Formule 1 à part dans cette définition du sport. La Formule 1 étant pour moi un sport mais aussi un laboratoire technologique pour valider des directions à donner à l'industrie automobile.)
après la question initiale intégrait aussi "quid du kite dans 100ans!" perso, je ne sais déjà pas quand sera ma prochaine nav', partant de là je suis bien incapable de tenter un projection sur le kite dans 100ans
Très bonne analyse
!
ricolerouquin a écrit :Jerome a écrit :continuer à se démocratiser, on est bien d'accord.
C'est de toute façon l'intérêt de l'Industrie du Kite donc normalement dans cette direction que le sport va aller, n'en déplaise à Manix.
En tout cas dans nos contrées (ce que nous appelons l'Occident) je pense que le nombre de pratiquants va continuer à augmenter mais pas au rythme auquel il s'est développé depuis ces 6-7 dernières années.
les marques vont avoir besoin de se chercher de nouveaux consommateurs. Ils les trouveront en Asie, en Amérique du Sud et probablement en Afrique. Dans 50ans, combien de togolais, somaliens, colombiens, chinois, vietnamiens feront du kite? et dans ces pays combien d'écoles? combien de sites de pratiques?
Perso je crois plus que les vraies questions sur le devenir du kite sont là, dans les 50 années à venir. Je ne crois absolument pas à du kite WIFI, du matos bourré d’électronique ou d'électrique et d'assistants au pilotages. Parce que selon moi, le fondement d'un sport, quel qu'il soit* c'est bien d'offrir à l'utilisateur un contrôle de sa trajectoire et ou de sa performance par une action physique et une analyse de son environnement. ce n'est pas grâce à une technologie "sans fil" ou autre innovation de ce type.
(*je mets peut-être la Formule 1 à part dans cette définition du sport. La Formule 1 étant pour moi un sport mais aussi un laboratoire technologique pour valider des directions à donner à l'industrie automobile.)
après la question initiale intégrait aussi "quid du kite dans 100ans!" perso, je ne sais déjà pas quand sera ma prochaine nav', partant de là je suis bien incapable de tenter un projection sur le kite dans 100ans
Très bonne analyse
entièrement d'accord ! allez si je cherche à être un peu sérieuse sur le sujet je dirais quand même amélioration des sécu et réduction de l'encombrement... mais bon ça va pas attendre 100 ans cette affaire
en tout cas je vois pas du tout de moteurs arriver dans tout ça-
steflallemand
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- Enregistré le : ven. 23 sept. 2005 08:15
a part egault , qui nous a presenté une fiction sympathique , je lis que beaucoup sont dans le sans fils ou fils wifi , ils appliquent l'évolution du téléphone de ces 20 dernieres années au kite , aucun paraléle , désolé . ricco fustige la mode du surf strapless , pas que dans ce post d'ailleurs . et d'autres espèrent des avancées technologiques majeures , ils ont raison , elles auront lieu .
dans 50 ans on aura fait face a la surexploitation des matières premières , fait face a la pollution , a la surpopulation mondiale , le modèle économique basé sur une incessante croissance sera considéré comme une des grandes erreurs de l'humanité , nos comportements de consommation auront change du tout au tout ,
enfin pas les notres on sera plus la
et dans une société ou le déplacement humain et les transports de marchandises seront hors de prix , on achètera son kite chez le voilier du coin et sa board chez le shapeur local .
l'evolution majeure sera la nature des matériaux utilisés , le tout jetable aura disparu et on gardera son matos a vie , il sera durable et fait sur mesure , les gens auront arréte depuis longtemps a écouter le chant des sirenes du marketing , y aura plus de marketing.
les spots ne seront plus surchargés , l'essence sera a 10€ le litre ce qui est prohibitif pour les déplacements futiles des parisiens et leurs 800 bornes par weekend pour faire 1heure de kite
dans ce futur tout ira mieux mais entre maintenant et dans cent ans il y un laps de temps ou tout ne sera pas rose , la coupe est pleine et il faudra boire le calice jusqu'à la lie
dans 50 ans on aura fait face a la surexploitation des matières premières , fait face a la pollution , a la surpopulation mondiale , le modèle économique basé sur une incessante croissance sera considéré comme une des grandes erreurs de l'humanité , nos comportements de consommation auront change du tout au tout ,
enfin pas les notres on sera plus la
et dans une société ou le déplacement humain et les transports de marchandises seront hors de prix , on achètera son kite chez le voilier du coin et sa board chez le shapeur local .l'evolution majeure sera la nature des matériaux utilisés , le tout jetable aura disparu et on gardera son matos a vie , il sera durable et fait sur mesure , les gens auront arréte depuis longtemps a écouter le chant des sirenes du marketing , y aura plus de marketing.
les spots ne seront plus surchargés , l'essence sera a 10€ le litre ce qui est prohibitif pour les déplacements futiles des parisiens et leurs 800 bornes par weekend pour faire 1heure de kite
dans ce futur tout ira mieux mais entre maintenant et dans cent ans il y un laps de temps ou tout ne sera pas rose , la coupe est pleine et il faudra boire le calice jusqu'à la lie
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